02 mai CÉRÉMONIE DE L’OLIVIER – RDV LE 21 ET 22 MAI 2022 À L’ABBAYE DE MAUBUISSON ! CÉRÉMONIE DE L’OLIVIER – RDV LE 21 ET 22 MAI 2022 À L’ABBAYE DE MAUBUISSON !

ceromonie olivier

A l’issue de leur résidence en bibôme menée à la Villa Kujoyama en 2019, Luz Moreno et Anaïs Silvestro ont poursuivi leur recherches sur l’olivier en post-résidence à l’Abbaye de Maubuisson !

Performance culinaire – Première française

Cérémonie de l’olivier

Le 21 et 22 mai 2022 à l’abbaye de Maubuisson

A 11h et 15h – Gratuit sur réservation uniquement

Réservez votre place

Les artistes Luz Moreno et Anaïs Silvestro travaillent avec les aliments du quotidien pour en raconter les multiples histoires. En résidence au Japon à la Villa Kujoyama en 2019,  elles ont développé une cérémonie de l’olivier pour honorer cet arbre millénaire fascinant et l’huile d’olive nouvelle.

Les deux artistes ont été accueillies à l’automne 2021 en post-résidence à Maubuisson. Pendant celle-ci, elles ont invité Daniel Pescio, artiste olfactif et parfumeur – également lauréat en 2019, à repenser cette cérémonie immersive où tout fait sens et la présenter en France pour la première fois. Au cours de cette performance culinaire, l’arbre fruitier se déguste, se respire, se caresse et s’apprécie sans parole pour apprécier l’instant et les bruits environnants.

Catherine Meurisse (Lauréate 2018)

A la suite de ses études de scénographie à l’École nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, Luz Moreno se passionne pour la fibre auprès de l’artiste Sheila Hicks. Elle obtient un certificat de Boulangerie et Pâtisserie à l’École du Cordon bleu de Paris. Puis, réunissant le design et la cuisine, elle intègre l’École d’Art et de Design de Reims en Design culinaire. Dans son projet saisissant Edible fibers, elle élabore des pâtisseries de « fibres filaires » comestibles tissées, cardées, etc.

Durant ses études en Design de Mode à l’École Supérieure d’arts appliqués Duperré, Anaïs Silvestro s’intéresse à l’idée de « designer » un corps. Cette (re)construction repousse les limites de la « plasticité » du corps, par le maquillage, la chirurgie, la génétique ou encore l’alimentation. C’est pour questionner cette dimension organique et charnelle qu’elle intègre la Formation supérieure en Design culinaire à l’École d’Art et de Design de Reims. Elle explore cette thématique en proposant le projet Di-gestion, invitant les spectateurs à s’immerger dans des « paysages digestifs » transfigurés.